VILLA DIAMONDHEAD CORSE

La Corse du Sud et ses plages de sable fin
La Corse - Ile de beauté
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véritable « montagne dans la mer »
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un parc marin international, cinq réserves naturelles & un Parc naturel régional
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1 000 km de côtes : golfes, plages de rêve: sableuses et rocheuses, petites criques, panorama à en couper le souffle, eaux turquoise, forêts de pins, falaises sauvages & grottes maritimes...
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fleuves, rivières et lacs avec vue époustouflante
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le mythique GR20 : sentier pédestre à travers la montagne Corse s’étendant sur près de 200 km.
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un climat méditerranéen avec de températures entre 25-30° en été

Plage de Roccapina #PlageRoccapinaCorse

Plage de Pinarellu - Une magnifique tour génoise se dresse sur sa presqu'île, à ses pieds une magnifique anse de sable blanc s'offre à vous. - Plage fortement conseillée aux enfants - basse profondeur. #PlagePinarelluCorse

Plage du Grand Sperone #PlageGrandSperoneCorse

Plage de Palombaggia - Cadre idyllique, pins parasols et rochers aux couleurs rouges. - Sable blanc et eaux peu profondes, paradis des enfants. - Un panorama grandiose sur les Cerbicale. #PlagePalombaggiaCorse

Plage de Saint Cyprien - Magnifique plage bordée par l’étang d’Arasu. - Sable blanc, eau bleue turquoise et roche rouge. - Plage conseillée aux enfants - profondeur progressive. - Endroit magique pour passer un très bon moment en famille. #PlageSaintCyprienCorse

Plage de Santa Giulia - Tout simplement le paradis sur terre. - Une des plages les plus célèbres du Sud de la Corse. - Deux kilomètres de sable blanc et fin. - Plage conseillée aux enfants. #PlageSantaGiuliaCorse

Plage de Stagnolu #PlageStagnoluCorse

Plage de Rondinara - Une baie de rêve, un endroit paradisiaque accessible à tous. - 3ème plus belle plage d’Europe. - Coté sauvage parfaitement préservée. - Baignez vous dans une eau d’un bleu unique. - #PlageRondinaraCorse

Plage du Petit Sperone #PlagePetitSperoneCorse

Plage de Paraguan #PlageParaguanCorse

Plage de Fautea #PlageFauteaCorse

Plage de Balistra #PlageBalistraCorse
Le sens du voyage
by Paul Nathan, un élève de 3ème...
Je me réveille. J'ouvre mes yeux endoloris et regarde avec émerveillement mon magnifique compartiment. Je me lève en entendant le son rythmique des roues sur le chemin de fer. Ah, quel son merveilleux, il est fort mais si berçant, il est simple mais si grandiose. Je me dirige à présent vers le hublot, la fenêtre du monde, de là, je peux voir... voir mon environnement. Qu'il est épuré ce hublot, mais, de tout façon, ce n'est pas lui que l'on regarde, c'est l’extérieur.

Le train avance mais j'ai la sensation de ne pas bouger, je sens juste une légère poussée, légère mais fortement agréable. Voilà, j'ai atteint le hublot et je m'empresse d'y jeter un œil. Tout comme un enfant qui reçoit un cadeau le ferait. Je vois une plaine dans laquelle un troupeau conduit par un berger rumine paisiblement. Non loin d'eux, une petite maison de campagne est érigée, accrochée à un petit jardin rural. Je vois la montagne, couverte de verdure. Certains arbres poussent aux creux des rochers, d'autres semblent pendre dans le vide. A côté d'eux, des animaux plus ou moins gros sautillent de pans en pans, habitués à ce relief abrupt.
Le train commence maintenant à prendre de l'altitude. Ah, quelle indescriptible sensation d'élévation, on a l'impression de rétrécir face à la nature, on se sent si petit face à sa puissance. Je contemple, une fois encore, les animaux plus ou moins grands qui poursuivent leur ascension. Un exquis paysage se présente. Je vois des monts sur lesquels la glace et la neige semblent éternelles, les pics qui semblent aiguisés, un soleil présent mais qui semble avoir arrêté de chauffer.
Soudain, l'obscurité.
La lumière naturelle a laissé place à de petites lampes murales, placées à égale distance les unes des autres. Je restais ainsi, à écouter le son rythmé du train maintenant couplé à l'écho infini du tunnel.
D'un coup, je fus ébloui. Je suis resté quelques secondes les yeux fermés, anéanti par le choc lumineux. J'ouvris peu à peu mes paupières et commençais à m’habituer à ce brusque changement.
Voilà, je vois, je peux à nouveau observer la beauté du paysage… Sur les flancs de la montagne, se trouve une magnifique cascade. L’eau se jette gracieusement de son sommet avant d’atterrir semblant n’être jamais tombée. Je peux la voir poursuivre son cours, elle serpente entre les roches et rochers, et s’expulse, toujours avec le même entrain, dans une énième chute d’eau.
Le train continue sa course, il avance, lui aussi, toujours avec le même entrain. Les paysages défilent, plus majestueux les uns que les autres, ils sont tous magnifiques, tous différents, tous magiques... Ils sont authentiques ; ces paysages, et les comparer reviendrait à les restreindre.
Je vais m’allonger sur le lit gardant les yeux fixés sur le hublot. Je m’assoupis, bercé par la beauté des paysages, par la poussé du mouvement et par le son du train poursuivant sa course…